Nous voici entrés dans une nouvelle ère économique, celle de la transition écologique.
C’est la troisième ère de ce genre que connaît la France et l’Europe depuis 1945. Les « Trente Glorieuses » (circa 1945 – 1975) furent l’ère de la reconstruction et du développement industriel ; les trente années suivantes (circa 1985 – 2015) ont constitué l’ère de l’intégration dans l’économie mondiale, facilitée par les nouvelles technologies numériques, le faible coût de l’énergie, la fin de la guerre froide, et la mise en place de politiques d’inspiration libérale. Sous la pression des enjeux environnementaux – climat et biodiversité en tête – voici donc l’ère de la transition écologique, ouverte officiellement en Europe en décembre 2019 par l’annonce du Green Deal Européen.

L’ambition, soulignons-le, est très élevée, et va dominer notre horizon politique pour les 3 prochaines décennies :
Transformer l’UE en une société juste et prospère, dotée d’une économie moderne, efficace dans l’utilisation des ressources et compétitive, caractérisée par l’absence d’émission nette de gaz à effet de serre d’ici 2050 et dans laquelle la croissance économique sera dissociée de l’utilisation des ressources.

La tâche s’annonce immense, pleine de surprises et d’incertitudes. Car comme l’a rappelé la Première ministre dans son discours de politique générale devant l’Assemblée Nationale, il s’agit d’effectuer des « transformations radicales dans notre manière de produire, de nous loger, de nous déplacer, de consommer ».

Cela ne se fera que par l’implication de tous – une idée qui est devenue un leitmotiv de la transition naissante. « Face aux changements colossaux qui nous attendent, nous dit la Commission Européenne, (…) un nouveau pacte est nécessaire ». La Convention Citoyenne pour le Climat dit de même : « nous devons tous changer nos comportements en profondeur pour laisser à nos enfants et petits-enfants une planète viable. (…) Citoyens, pouvoirs publics, acteurs économiques, ONG, il est nécessaire que nous soyons tous solidaires face à l’urgence climatique, en faisant de la justice sociale un des moteurs de la réflexion. »
Elisabeth Borne l’a redit devant l’Assemblée Nationale : « La transition écologique est l'affaire de tous. (…) Tout ne viendra pas de l'Etat seul, chacun devra y prendre sa part, c'est la condition de la réussite. »

Square Management est un cabinet de conseil en stratégie et organisation français doté de 800 consultants et travaillant principalement dans le secteur financier. Nous développons nos expertises autour de ce nous appelons des Domaines d’Excellence (Domex), qui réunissent les consultants du cabinet ayant les mêmes expertises ; ils permettent de réaliser des travaux de veille, de recherche, de partager des retours d’expérience de mission, de publier des articles ou des documents d’opinion.
Le développement de Square Management s’inscrit dans une stratégie qui vise à assurer notre souveraineté intellectuelle en faisant la promotion, au sein de l’Union Européenne, de cabinets issus de ses états membres.

Pour ce faire, Square Management s’appuie sur le Square Research Center (SRC). Fort d’une vingtaine de chercheurs, doctorants et post-docs, le SRC mène divers travaux de R&D en partenariat avec les meilleures universités et écoles françaises.

Square Management souhaite contribuer activement à la transition. Tous nos travaux de recherches et nos DOMEX s’alignent sur l’ambition stratégique de devenir un cabinet de référence sur les problématiques liées à la transition écologique : stratégies de durabilité ; démarche de contribution des entreprises à la transition écologique (qui s’impose comme une nouvelle norme de RSE) ; gestion des risques climatiques ; innovation responsable ; marketing durable ; numérique responsable ; décarbonation des chaînes d’approvisionnement ; etc. Nos multiples contributions à Produrable témoignent de notre engagement.

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